Amazon Web Services a dévoilé une panoplie d'outils d'intelligence artificielle. Pendant ce temps, les séries créées en partie par IA arrivent à la télé française.
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Dans cet épisode, on fait le point sur les annonces d'Amazon Web Services (AWS) lors de son événement annuel à Las Vegas. Plusieurs modèles, baptisés Nova, dont des outils multimodaux, vont être mis à la disposition des clients de la firme américaine. Ces nouvelles applications doivent permettre des gains de temps pour les entreprises. Ils s'adressent notamment aux développeurs.
Par ailleurs, on évoque l'arrivée de l'IA dans la fiction télé, à l'occasion de la sortie sur ARTE d'une nouvelle série baptisée "Prompt", en partie réalisée par intelligence artificielle, qui suscite des inquiétudes au sein de la communauté créative.
Transcription :
Jérôme :
[0:07] Salut Bruno Guglielminetti.
Bruno :
[0:08] Salut Jérôme Colombain.
Jérôme :
[0:10] Alors, on est sous la neige? Oui.
Bruno :
[0:13] Ça a bien l'air qu'on est sous la neige.
Jérôme :
[0:16] En même temps, c'est le Canada.
Bruno :
[0:18] Oui, il ne fallait pas être surpris. Mais c'est quand même un choc. Parce que moi, j'arrive à l'instant. Il y a quelques heures, j'étais encore dans les airs. Et il faisait beau à Las Vegas. Il faisait chaud. C'était le beau soleil. Et puis là, j'arrive. C'est la tempête.
Jérôme :
[0:35] Montréal sous la tempête. mon pauvre ami bon tu vas sortir les doudounes non mais t'aimes ça de toute façon la neige c'est une seconde nature pour vous ben oui j'ai hâte d'aller pelleter ah oui c'est vrai mais de toute façon j'aime mieux avoir.
Bruno :
[0:48] Une tempête de neige que vivre dans un pays où il n'y a pas de gouvernement.
Jérôme :
[0:53] Oh ça c'est une basse attaque ah et ben voilà ouais j'avoue en plus j'ai rien à répondre à ça qu'est-ce que tu veux que je te dise on va se lapper le sujet parce que mais Jérôme je te rassure.
Bruno :
[1:04] Il n'y a pas de vote de confiance entre nous.
Jérôme :
[1:07] Entre nous.
Bruno :
[1:07] Totalement, ma confiance.
Jérôme :
[1:09] Il n'y a que de la confiance.
Bruno :
[1:10] Mais pas de votre. Exactement. Alors, pas de votre.
Jérôme :
[1:11] Bon. Donc, tu étais à Las Vegas.
Bruno :
[1:16] Oui.
Jérôme :
[1:16] Non pas pour prendre le soleil, mais pour encore... Pour prendre des nouvelles d'Amazon.
Bruno :
[1:22] Oui, mais plus particulièrement de son aile infonuagique, AWS.
Jérôme :
[1:27] AWS Amazon Web Services.
Bruno :
[1:29] Oui, et c'est dans le cadre d'un événement annuel. C'est la grande fête, un peu l'équivalent des grandes keynotes de Apple ou celle de Microsoft à une autre époque. Quoique, Ignite, c'est quand même important. Mais là, c'est une fois par an, c'est un rendez-vous qui se fait au début décembre chez les gens de AWS. Pour te donner une idée, c'est assez couru, 60 000 personnes étaient là. Et pendant qu'il y avait des annonces… C'est vraiment impressionnant.
Jérôme :
[1:55] C'est un mini-CES.
Bruno :
[1:56] Oui. Tu vois, ça me rappelait les premières éditions. Moi, j'ai commencé en 1996 à aller au CES et où il y avait la crise où le CES voulait devenir gros. Alors, il y avait plein, plein, plein de kiosques qui étaient tous collés un sur l'autre. Et c'est un peu ça. Alors, il y a énormément de choses à voir sur un territoire qui est assez réduit parce que ça se passe essentiellement à l'espace de conférence d'exposition au Venetian.
Jérôme :
[2:28] Mais qui est l'espace d'expo du CES. Enfin, l'un des espaces du CES.
Bruno :
[2:32] Oui, d'une partie du CES. C'est exactement au même endroit. Et donc, ça donne des airs pour les gens qui ont déjà connu le CES. Ça donne des airs déjà vus. Mais donc, c'est ça. Alors, c'est 60 000 personnes qui sont là, à la fois pour aller prendre des nouvelles de ce que AWS prépare pour l'an prochain, mais aussi, il y a une bonne partie de ces gens-là qui viennent obtenir leur certification pour des formations qui sont offertes par AWS pour travailler avec différents de leurs outils. Mais c'est donc l'occasion pour l'entreprise d'annoncer les nouveaux services, les améliorations, et il y en avait beaucoup.
Jérôme :
[3:03] Notamment l'annonce de l'IA fait par Amazon. Ça y est, ils sortent à leur tour leur modèle d'IA.
Bruno :
[3:10] Oui, et ce qui est intéressant, c'est qu'ils sont déjà présents dans le domaine de l'IA depuis longtemps parce qu'ils l'utilisent même pour faire fonctionner l'info nuagique. qu'à un moment donné, tu as besoin d'algorithmes pour arriver à te retrouver là-dedans. Donc, ça fait longtemps qu'ils l'utilisaient. L'an dernier, ils avaient présenté Bedrock, qui était un peu comme leur catalogue d'intelligence artificielle générative. Là-dedans, on trouvait Anthropik avec son cloud. On trouvait les gens de Mistral qui faisaient partie du lot. Il y avait la mode de Meta, puis plein d'autres. Mais là, parallèlement, ils se sont dit, peut-être qu'avec l'expérience qu'on a de développer notre savoir-faire à l'interne, peut-être qu'on pourrait le partager. Alors, ils nous ont présenté cette semaine six, langage, un modèle de langage et ça couvre vraiment différents domaines et c'est ça que je trouve intéressant moi là-dedans donc il y en a un qui fait que de l'écriture il y en a un qui fait que du calcul l'autre la programmation il y en a un qui travaille juste sur les images il y en a un autre qui travaille juste sur la vidéo, et là ce qu'on est en train de préparer, peut-être avant la fin 2025 on va le voir c'est un, ce qu'ils appellent en anglais il va falloir trouver l'appellation en français, c'est « any to any ». Donc, tu mets ce que tu veux au départ, que ce soit du texte, que ce soit des photos, que ce soit de la vidéo, que ce soit un graphique, et tu lui dis en quoi tu veux que ça sorte de l'autre côté.
Jérôme :
[4:40] D'accord.
Bruno :
[4:41] Mais c'est fou, là. C'est dingue. C'est vraiment un multimodal. Donc, tu mets ce que tu veux au début et tu demandes à l'IA de te la transformer en ce que tu veux ensuite.
Jérôme :
[4:51] Oui, c'est fou. Donc, ça s'appelle Nova, c'est ça?
Bruno :
[4:54] Oui, la famille des outils s'appelle Nova.
Jérôme :
[4:56] La famille s'appelle Nova. Comme tu dis, il y a plein de briques, mais en fait, ils couvrent tout ce qui existe déjà chez d'autres. Le texte, l'image, la vidéo, tout ça, c'est des choses qu'on trouve déjà. Et eux, ils ont l'ambition de tout faire, alors.
Bruno :
[5:09] Oui, mais avec des petits outils qui sont là. Et là, moi, personnellement, ce que je trouve intéressant dans cette offre-là, c'est le fait qu'on offre des outils spécifiques pour faire des tâches spécifiques. Et donc, contrairement à, par exemple, un chat GPT, évidemment, c'est l'éléphone dans la pièce, qui demande énormément d'énergie pour te faire un petit texte. Si tu veux un petit texte, tu peux juste prendre une petite intelligence artificielle qui va avoir appris à 2 millions de tokens, plutôt qu'une qui roule à 175 milliards de tokens. À un moment donné, c'est...
Jérôme :
[5:47] Oui, ce n'est pas la peine d'avoir une Ferrari pour aller acheter le pain au coin de la rue. Exactement.
Bruno :
[5:51] Quel bel exemple. C'est à ça que je pensais. Mais donc, c'est ça. Alors, moi, je trouve qu'ils sont arrivés avec ça, avec des outils très nichés. Sinon, très rapidement, la plupart des gros outils qui sont déjà des outils que les gens connaissent, c'est les travails dans l'environnement WS. Cette année, tout est bonifié avec l'intelligence artificielle. Et j'avais une pensée, et d'ailleurs, j'en parle un peu plus tard dans mon podcast,
Bruno :
[6:15] J'avais une pensée pour tout ce qui est développeurs, codeurs. Eux, c'est vraiment, s'ils travaillent dans le monde d'AWS, c'est leur anniversaire cette année. Parce qu'il y a tellement d'outils qui sont faits en fonction de ces gens-là pour leur permettre de passer moins de temps à faire autre chose que de coder. Alors, l'IA maintenant génère des tests. Donc, elle teste elle-même ce que les gens sont en train de coder. Elle est capable de faire un historique, donc un peu le manifeste de ce qui est fait en codage. L'IA va te le faire sur le côté pendant que tu es en train de travailler.
Bruno :
[6:49] Et puis, même quand vient le temps de prendre des grands systèmes et de les faire migrer sur d'autres plateformes, je pense par exemple à des vieilles versions de Java et de les mettre dans les nouveaux standards. Maintenant, il y a une IA chez Amazon qui est capable de faire ça. Et un peu plus tard, je ne veux pas vendre mes punchs, mais un peu plus tard dans mon carnet, il y a le grand patron de AWS Canada qui nous raconte combien d'années ça prendrait pour faire migrer certaines choses. Et on est passé maintenant à quelques semaines. C'est fou le temps que les gens vont gagner.
Jérôme :
[7:22] Mais dis-moi, Bruno, donc là, c'est des applications professionnelles. Est-ce que Nova, c'est une IA qu'on pourra toucher du doigt en tant que particulier?
Bruno :
[7:30] Si vous ouvrez un compte dans l'environnement professionnel de AWS, vous pourriez y avoir accès. Vous la branchez avec votre compte d'Amazon. Et vous aurez à payer un abonnement parce que c'est un outil payant comme ChatGPT Plus est un outil payant.
Jérôme :
[7:48] Donc, c'est vraiment destiné en priorité aux clients de AWS.
Bruno :
[7:51] Oui, mais tous peuvent devenir clients chez AWS.
Jérôme :
[7:56] Oui, bien sûr, mais ce n'est pas le cas de tout le monde non plus.
Bruno :
[7:59] Non.
Jérôme :
[7:59] Puis, c'est pas comme, il y a beaucoup d'outils qui sont en libre accès. Il y a une version gratuite, ChatGPT, Cloud, etc. Donc là, il n'y a pas de version gratuite, on est d'accord.
Bruno :
[8:07] Pour le moment, il n'y a pas de version gratuite, mais il y a les versions qui sont embarquées juste dans l'environnement de travail.
Jérôme :
[8:14] D'accord.
Bruno :
[8:15] Puis, on s'entend, les plus gros utilisateurs sont déjà, en tout cas, qui vont être intéressés par cet outil-là, ce sont vraiment déjà des clients de chez AWS. Puis, c'est des centaines de millions, là.
Jérôme :
[8:26] Pour toi, c'est vraiment une… parce qu'en plus, tu suis Amazon depuis longtemps. On avait déjà parlé d'il y a ensemble, mais il n'y a pas longtemps. Parce que c'est vrai que c'est un acteur qui est incontournable et qui prend
Jérôme :
[8:37] une place phénoménale dans ce domaine. Pour toi, on fait vraiment un pas en avant important là?
Bruno :
[8:41] Ben oui, puis d'autant plus, je pense rapidement, il y a un autre truc qui me vient en tête, mais j'en parle beaucoup plus longtemps dans mon podcast, c'est Q4Business. L'année passée, Q, ça avait été présenté, c'était un peu comme leur intelligence artificielle générative privée qui fonctionne en silo. Donc, une compagnie peut balancer tout son contenu là-dedans, c'est sécuritaire. Maintenant, Q4Business, ils font des passerelles avec tout ce qui est outils de traitement d'informations, que ce soit Word, que ce soit la suite Google, que ce soit tes courriels, que ce soit ton agenda en ligne, donc Salesforce, bref, tous les endroits où tu pourrais avoir du contenu. Maintenant, la solution Q for Business, qui est l'évolution de Q, elle permet d'accéder à toute l'information, peu importe où elle réside. Alors, évidemment, pour des grands groupes ou des petites entreprises qui veulent avoir accès à toute leur information quand on vient de temps de leur demander, va me chercher les ventes de la semaine dernière ou va me chercher ce qu'on appelle les leads, donc des possibilités de vente, mais qui n'ont pas été complétées. il va aller chercher partout et pas seulement dans les trucs qui ont été classés dans le répertoire.
Jérôme :
[9:52] Mais ça va faire confiance à Copilot, non, de Microsoft, ça?
Bruno :
[9:57] Ben, Copilot, de la façon qu'il est embarqué, il réside dans l'écosystème de Microsoft. Et Gemini réside dans l'écosystème de Google. Tandis qu'AWS, comme ils n'ont pas d'écosystème à eux, ils se branchent partout. Et c'est ça que je trouve très habile de leur part.
Jérôme :
[10:12] Préant.
Bruno :
[10:13] Mais sinon, toi, écoute, parle-moi, t'es très documentaire toi de ce temps-ci, là il y a une nouvelle histoire avec Arte TV, c'est quoi cette histoire-là?
Jérôme :
[10:22] Eh bien, c'est encore une histoire d'IA, bien sûr. Mais si, si, si. Ouais, c'est une affaire dont on ne parle pas encore beaucoup, mais que j'ai dénichée dans un... En fait, c'est un site d'actualité spécialisé. Je vais les citer parce que c'est des amis. Il s'agit d'Electron Libre et qui a levé un lièvre là. En fait, la chaîne de télé Arte va très bientôt, à partir du 16 décembre, diffuser une mini-fix, une série de fictions et qui a été construite en partie par l'intelligence artificielle. D'ailleurs, ça s'appelle Prompt. C'est des petits épisodes de 2 minutes 30.
Jérôme :
[10:57] Et comme on pouvait le deviner, ça ne passe pas comme une lettre à la poste. C'est-à-dire que le directeur d'Arte qui s'appelle Bruno Patino, qui est pourtant un pionnier du numérique en France et dans les médias, il connaît très bien tous ces sujets-là. Mais là, il se retrouve face à une fronde de la part des professionnels, les organisations qui représentent, les créateurs, tout le monde artistique musicien réalisateur réalisatrice scénariste etc qui l'ont interpellé parce qu'ils sont très inquiets voilà ils veulent en savoir plus ils se demandent si c'est pas la porte ouverte vers quelque chose qui va les menacer et ils réclament une utilisation éthique de l'intelligence artificielle et je trouve ça intéressant parce qu'en fait on est vraiment sur un sujet qui est crucial on l'a déjà évoqué ça a déjà posé des problèmes aux Etats-Unis, ça arrive en France. L'autre jour, il y avait également un reportage sur France 2 concernant les doubleurs de cinéma qui commencent eux aussi à se plaindre, à être mécontents parce qu'ils sentent qu'ils vont être remplacés ou en tout cas concurrencés par l'intelligence artificielle. Voilà, il ne s'agit pas du tout de dire c'est bien ou c'est mal. De toute façon, toi comme moi, on sait que c'est un train qui est parti, qui ne s'arrêtera pas. Maintenant, c'est comment on va aménager tout ça, comment on va faire cohabiter tout ça parce que ça risque que ça risque de faire mal, malgré tout.
Bruno :
[12:21] Mais revenons à la genèse. C'est quand même... C'est une série documentaire qui a été commandée par Arte.
Jérôme :
[12:26] À quelqu'un... C'est une fiction. C'est une fiction.
Bruno :
[12:29] Non, mais c'est ça.
Jérôme :
[12:29] C'est des histoires.
Bruno :
[12:31] Mais en bout de l'air, mais ça a été commandé à quelqu'un. Il y a donc des producteurs, il y a un créateur, il y a un réalisateur là-dessus.
Jérôme :
[12:37] Absolument.
Bruno :
[12:38] Il y a des artistes. C'est des humains qui ont travaillé là-dessus, qui ont fait des requêtes pour arriver à ce que c'est. Moi, je trouve ça intéressant que je comprends qu'il y a des gens qui veulent continuer à faire comme on faisait depuis longtemps, mais il y a une nouvelle façon de faire. Et c'est un peu ce que Arte est en train de montrer.
Jérôme :
[12:55] Exactement, parce qu'en fait, ce n'est pas du tout une IA qui a tout fait du début à la fin. C'est l'auteur de cette série à utiliser de l'intelligence artificielle comme un outil, Mais c'est son travail à lui, malgré tout.
Bruno :
[13:08] Imagine si on avait dit à Godard, non, non, il faut filmer comme ça, parce qu'on a toujours filmé comme ça. On n'aurait pas eu la nouvelle vague, elle n'aurait jamais existé.
Jérôme :
[13:16] Mais on est presque au passage du cinéma noir et blanc à la couleur ou du cinéma noir au cinéma parlant.
Bruno :
[13:24] Exactement.
Jérôme :
[13:24] Et rappelle-toi, quand le cinéma parlant est arrivé, il y avait des acteurs qui l'ont pas du tout apprécié.
Bruno :
[13:30] Ben oui, ben eux perdaient leur carrière parce qu'ils n'avaient pas la voix. Ils n'avaient pas la voix du physique.
Jérôme :
[13:37] Exactement. Bon, voilà. Donc, affaire à suivre. Et comme on est en France, enfin, comme tu l'as dit, on a d'autres chats à fouetter actuellement en termes de polémiques et de gros sujets qui fâchent.
Bruno :
[13:47] Vous avez à vous réglementer vous-même, c'est déjà beaucoup. Mais, Théodore, mis à part cette polémique-là, toi, tu vas parler de quoi dans ton édition?
Jérôme :
[13:55] Alors, cette semaine, je suis ravi de proposer à mes auditeurs une interview assez exceptionnelle. En fait, c'est l'interview d'un écrivain, mais pas n'importe lequel. Il s'agit d'Alain Damasio, qui est un auteur de science-fiction très connu en France et qui a beaucoup écrit, qui a écrit des romans assez critiques contre les technologies. Mais il est lui-même complètement geek et complètement baignant dans la tech. Et son dernier livre, en fait, se passe dans la Silicon Valley. Alors, tu vois, la Silicon Valley, on n'en sort pas. on en parlait récemment ensemble dans le Grand Débrief avec François Sorel et bien là c'est aussi le récit d'un voyage dans la Silicon Valley avec une vision très très critique de ce que font les GAFAM, c'est super intéressant donc Alain Damasio et puis sinon avec Capgemini que je retrouve tous les mois dans Monde Numérique, et bien on s'intéresse cette semaine au quantique à quoi va servir l'informatique quantique et où en sont les progrès dans ce domaine, donc on voit tout ça avec mon invité, et Patrice Dubois, que l'on retrouve tous les mois dans Monde Numérique.
Bruno :
[14:58] Sur ce, Jérôme, j'invite mes auditeurs à aller faire un tour de ton côté quand ils auront terminé mon carnet. Et puis, je serai heureux d'accueillir les tiens pour en savoir un petit peu plus sur AWS cette semaine.
Jérôme :
[15:11] Voilà, je t'envoie tout de suite mes auditeurs, dès qu'ils en ont fini avec moi, Bruno. Et puis, je te dis à la semaine prochaine.
Bruno :
[15:17] Allez, je te assure tout de suite une semaine. Bye.
Jérôme :
[15:19] Moi, je ne suis pas sous la neige, je suis au soleil. Enfin non, il ne fait pas beau là, mais tu vois, je suis à Aix-en-Provence, mon pote ce week-end moi je te souhaite au gouvernement salut bye allez ciao bye.