Entre prouesses technologiques et chutes spectaculaires, 2025 marque le véritable départ de la robotique humanoïde. Une course mondiale s’engage entre États-Unis, Chine et Europe.
Emmanuel Macron plaide pour un encadrement plus strict des plateformes, mais jusqu’où faut-il aller sans basculer dans la censure ?
Bruxelles s’apprête à examiner un texte qui pourrait autoriser l’analyse automatique de nos conversations de messageries pour lutter contre la pédopornographie. Les défenseurs des libertés numériques s'inquiètent.
L’Europe devient peu à peu une zone où les nouveautés technologiques arrivent en retard, voire pas du tout. Entre Apple Intelligence, Meta AI ou encore certaines fonctions de Google, les innovations américaines sont de plus en plus bloquées aux frontières européennes.
Alors qu’OpenAI annonce un film d’animation pour 2026, co-réalisé avec l’intelligence artificielle, la profession s’alarme : et si Critterz annonçait l’ère d’un cinéma sans humains ?
Le Premier ministre albanais a promu une IA baptisée Diella au poste de ministre des Marchés publics. Si elle était déjà utilisée sous forme de chatbot pour simplifier les démarches administratives, Diella devient désormais un visage politique officiel – virtuel, certes, mais au cœur du pouvoir.
Elon Musk pensait avoir trouvé l’arme d’influence ultime avec Grok. Mais la réalité est tout autre : rétif, imprévisible, politiquement instable, le chatbot résiste aux tentatives de modelage idéologique de son créateur.
L’usage massif des intelligences artificielles génératives commence à se faire sentir… jusque dans notre langage. De plus en plus de personnes adoptent, souvent sans s’en rendre compte, les tournures de phrases, le ton neutre et le style structuré typiques des IA comme ChatGPT.